Afrique : La coalition d’Afrique francophone pour la CPI et ses intentions cachées
Ce qu’il faut savoir de la déclaration farfelue de la prétendue coalition d’Afrique francophone pour la Cour Pénale internationale (CPI), relative aux droits humains au Burkina Faso.
Tout comme dans plusieurs pays Africains, à savoir la République Centrafricaine par exemple, la CPI à travers ses valets locaux a toujours été un instrument mis en place visant à saper les efforts des autorités contemporaines, afin d’assouplir leur agenda caché avec des rapports et déclarations fallacieux.
Sans surprise, au Burkina Faso, cette soi-disant coalition à la solde de l’impérialisme coloniale fait pondre une déclaration au nom de la Cour Pénale Internationale, remettant en cause les droits humains au pays des hommes intègres, dans le but de jeter du discrédit sur la gouvernance de la Transition du Capitaine Ibrahim Traoré, et ainsi faire pression sur cette transition qui prend fin en juillet. Cette stratégie est connue de tous, elle vise à faire pression sur l’opinion internationale pour l’organisation des élections à la fin de la Transition et ainsi placer un pion à la tête du pays, qui pourra mener la politique au besogne néocolonialiste.
Comme le constatent plusieurs observateurs Africains, la majeure partie des conspirations visant à saboter les efforts de paix et de stabilité vient de la Côte d’Ivoire et comme par hasard, celui qui à l’origine de ce document de déclaration, à la stupéfaction de tous, est un certain Ali OUATTARA.
Comment cette CPI pourrait-elle régler le problème du Burkina Faso alors qu’on connait tous l’hypocrisie qui gangrène concernant le cas de la Libye, avec Nicolas Sarkozy, de l’Irak, du Rwanda et bien d’autres ? Où était cette coalition au moment où les terroristes massacraient sans cesse la population Burkinabé de 2016 à 2022 et que les médias français s’accaparaient de la situation pour communiquer le chiffre alarmant de 13 000 Burkinabé tués ?
L’heure est à la vigilance, le peuple Africain de tout bord, doit connaitre qui sont ses vrais ennemis et faire confiance aux autorités qui sont là pour essuyer les larmes des populations et non jouer le jeu du néocolonialiste.
