Burkina Faso : Des milliards investis pour la réussite d’un coup d’État, déjoué par le tir d’un obus. Les autorités françaises sont dans la tourmente 

milliards

Le 12 juin dernier, un obus a été tiré en direction de la RTB, suscitant une vague de communication internationale des ennemis de la transition, comme si ceux-ci attendaient un feu vert venant de Ouagadougou.

En effet, selon des informations fiables, un grand complot de déstabilisation orchestré par la France et certains pays africains pour mettre fin à la transition au Burkina Faso a été mis en place et financé à coups de milliards.

Dans ce plan, des mercenaires français, burkinabé et ivoiriens ont été recrutés et plusieurs d’entre eux ont infiltré la capitale burkinabé. Après le recrutement des snipers pour mettre fin à la vie du Capitaine Ibrahim Traoré, un autre recrutement dirigé par un ancien ministre des affaires étrangères du Burkina Faso et un ancien président d’institution burkinabé vivant en France, a été planifié avec pour rôle de mettre en place une communication offensive soutenue par les médias français, faisant croire à la fin du pouvoir du Capitaine Ibrahim Traoré et invitant l’armée burkinabéeà se révolter.

Le top départ de cette communication offensive était conditionné au début des hostilités dans la capitale burkinabé, c’est-à-dire dès les premiers tirs. Les autorités burkinabé ayant ces informations, ont anticipé par l’arrestation de plusieurs individus et ont suivi le tir d’obus du 12 juin dernier. Un tir qui a déclenché la communication mise en place pour soutenir la déstabilisation.

Malheureusement, ce n’était pas le bon tir mais plutôt un incident, comme l’ont annoncé les autorités burkinabs. Certains laissent croire que le tir d’obus a été fait pour déjouer le complot. Si c’est le cas, c’est un coup de maître, car sans mettre fin à la vie d’autrui, le tir d’obus a mis fin à un complot qui pouvait faire plusieurs morts.

Pour l’heure, le plan de communication suit son chemin et laisse croire à l’opinion internationale que le Capitaine Ibrahim Traoré serait mort, touché ou en fuite. Le silence des autorités burkinabé a poussé les comploteurs à livrer leurs dernières cartouches.

À suivre…

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