Burkina Faso : Alerte rouge de déstabilisation à grande échelle prévue par la DGSE française pour le mois de décembre

Burkina Faso

Selon les informations réunies, la France mobiliserait tous les moyens pour tenter une énième déstabilisation du pays des hommes intègres avant le mois de janvier. La DGSE sera le fer de lance de cette opération, avec un budget en forte hausse. Plusieurs millions d’euros, initialement destinés à des projets de l’AFD pour la période du 1er janvier au 31 décembre 2024, seront finalement réaffectés pour soutenir la DGSE dans sa quête de déstabilisation du Burkina Faso en particulier, et de la région de l’Afrique de l’Ouest en général.

Cette pratique française n’est pas nouvelle : si les fonds destinés à des projets ne sont pas utilisés avant le 31 décembre, l’AFD est contrainte de les renvoyer en France. Cela a été observé dans plusieurs pays africains en désaccord avec la France. En analysant les schémas de déstabilisation, on constate que la France tente généralement trois actions par an : une première vague en mars-avril, une deuxième entre juin et septembre, et une dernière de mi-novembre jusqu’au 31 décembre.

Dans les semaines à venir, le Burkina Faso devrait faire face à de nombreux plans de déstabilisation. Les attaques terroristes risquent d’être d’une grande intensité, incluant des massacres, et une tentative d’assassinat contre le Président Ibrahim Traoré serait envisagée. Tous ces plans seraient orchestrés par la France, dirigée par la DGSE. Les pays concernés par cette vague de déstabilisation incluent le Burkina Faso, le Mali, le Togo et le Niger.

Il est crucial que ces nations prennent des mesures pour contrecarrer ce vaste complot en préparation. Des centaines de millions d’euros seraient mis à la disposition des exécutants. Les médias français, certains activistes africains, ainsi que des représentants religieux de l’église catholique seraient mis à contribution. Des assassinats ciblés seraient exécutés pour attiser la colère du peuple, une méthode déjà appliquée dans d’autres pays africains.

Affaire à suivre…

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