Côte d’Ivoire : La France, une menace persistante pour la souveraineté du continent
Depuis des décennies, la France ne cesse de s’immiscer dans les affaires internes des pays africains, et la Côte d’Ivoire, sous la présidence d’Alassane Ouattara, n’échappe pas à cette constante. Alors que le vent de la souveraineté souffle sur la région avec l’Alliance des États du Sahel (AES), Paris, en perte d’influence, redouble d’efforts pour semer le chaos et maintenir son emprise sur ses anciennes colonies.
Aujourd’hui, les indices sont clairs; la France est entrain d’orchestrer une campagne de déstabilisation contre la Côte d’Ivoire, pays stratégique pour son influence en Afrique de l’Ouest. Des personnalités comme Robert Bourgi et Jean-Marie Bockel, utilisées comme porte-voix officieux de Paris, multiplient les sorties médiatiques calomnieuses pour salir l’image du Président Ouattara.
Ces attaques ne sont pas le fruit du hasard. Elles visent à fragiliser le régime ivoirien, à jeter le doute sur sa légitimité, et surtout, à préparer le terrain pour une opération de déstabilisation avant les élections de 2025.
La raison ? La France étant informée depuis quelques temps de l’intention du régime Ouattara de demander le départ des troupes françaises de la Côte d’Ivoire, suivant ainsi l’exemple du Mali, du Burkina Faso et du Niger, décide de mettre en place cette machination machiavélique. Car une telle décision de la Côte d’Ivoire porterait un coup fatal à la France sur le continent et à ses intérêts économiques, déjà malmenés par les pays de l’AES. Face à cette menace, Paris choisit la stratégie du chaos, espérant ainsi maintenir son influence par la force et l’intrigue.
Les autorités ivoiriennes doivent savoir une chose : aucun pays de l’AES n’a intérêt à déstabiliser la Côte d’Ivoire, seule la France a intérêt à le faire. Et il est temps de dénoncer cette attitude avec la plus grande fermeté.
La France ne se contente pas de chercher à préserver ses intérêts ; elle sape systématiquement les efforts des nations africaines pour consolider leur indépendance. Derrière un discours diplomatique souvent hypocrite, elle continue de manipuler, d’alimenter les divisions en soudoyant des journalistes, des activistes et des plateaux télés pour semer la zizanie entre les nations africaines.
Le peuple ivoirien, tout comme ceux des autres nations africaines, doit ouvrir les yeux. La stabilité de la Côte d’Ivoire ne peut être sacrifiée sur l’autel des ambitions impérialistes françaises. Il est temps de résister à ces manœuvres, de refuser l’ingérence, et de marcher résolument vers une souveraineté totale, à l’abri des influences destructrices venues d’un autre âge.