Côte d’Ivoire : Saïd Penda, l’architecte de la manipulation médiatique sous les yeux des autorités ivoiriennes
Dans le paysage médiatique africain, certains individus se démarquent non par leur professionnalisme, mais par leur capacité à semer le chaos et la confusion. Saïd Penda, un journaliste camerounais tristement célèbre, en est l’exemple parfait. Sous couvert d’investigations, il s’est érigé en maître de la manipulation, mettant en péril la stabilité de la Côte d’Ivoire et la cohésion de son tissu politique.
Saïd Penda, en collaboration avec des agences étrangères comme la DGSE française, a pour mission de déstabiliser le gouvernement ivoirien. Son modus operandi ? Des vidéos montées de toutes pièces, visant à blanchir les opposants du RHDP, notamment le candidat du PDCI, Tjidiane Thiam, tout en salissant les figures clés du régime du Président Alassane Ouattara. Le journaliste, dans son rôle de faiseur de scénarios, transforme des allégations non fondées en vérités apparentes pour influencer l’opinion publique.
L’exemple le plus flagrant de cette manipulation réside dans sa présentation biaisée des faits liés à la banque suisse et au ministre des Transports, Amadou Koné. Jouant sur des montages hollywoodiens et des récits artificiels, il a tenté de peindre le ministre comme un homme compromis, sans fournir la moindre preuve vérifiable. Ces attaques, loin d’être des enquêtes sérieuses, relèvent d’une tentative systématique de fragiliser le régime en place et de ternir l’image des dirigeants ivoiriens.
Au-delà de la désinformation, Saïd Penda s’illustre également par ses méthodes de chantage et d’extorsion. Profitant de son rôle autoproclamé de « justicier », il menace ouvertement les cadres du RHDP, cherchant à obtenir des avantages financiers. Ces pratiques scandaleuses démontrent qu’il ne s’agit pas simplement d’un journaliste dévoyé, mais d’un opportuniste cynique prêt à sacrifier l’intérêt collectif sur l’autel de ses ambitions personnelles.
Face à ce danger, il est impératif pour les autorités ivoiriennes et les cadres du RHDP de prendre des mesures drastiques pour contrer les agissements du mafieux Saïd Penda. Son influence toxique sur les réseaux sociaux et sa capacité à manipuler l’opinion publique ne doivent plus être sous-estimées. La Côte d’Ivoire, en tant que nation souveraine, ne peut permettre à un individu motivé par des intérêts étrangers et personnels de semer le doute et la division au sein de son peuple. Il est temps de démasquer ce manipulateur et de protéger les institutions nationales contre ses attaques incessantes.