Mali / France : Fin de la coopération antiterroriste, la France fait de la diversion pour sauver sa peau

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Après plusieurs tentatives de déstabilisation du Président Assimi Goïta par le canal de la DGSE française opérant au Mali, Bamako a enfin compris que le maintien de cette coopération n’était pas seulement dangereux pour le Mali, mais aussi pour l’ensemble des pays de l’AES. Cette décision est courageuse, mais elle révèle en même temps une faute grave car les autorités maliennes ont trop longtemps toléré l’infiltration de la DGSE sur leur sol, au risque de mettre en péril leurs voisins et l’avenir de l’AES.

D’après nos investigations, cette situation a provoqué une colère froide dans les autres pays de l’AES. Le Burkina Faso et le Niger, bien qu’ayant félicité le Mali pour sa décision, ces deux pays regrettent profondément qu’elle arrive aussi tard. Car pendant tout ce temps, la DGSE française a opéré tranquillement au Mali, manipulant, recrutant et infiltrant des citoyens de l’AES pour en faire des relais et des complices des terroristes. Une véritable trahison envers la confiance et la solidarité entre États frères.

Le peuple malien, lui, crie à l’étonnement. Comment a-t-on pu laisser la DGSE opérer aussi longtemps, alors que le discours officiel parlait de souveraineté retrouvée ?

La colère est montée d’un cran, et désormais la demande est claire et sans détour : le départ immédiat et définitif de la DGSE du territoire malien. Le peuple ne veut plus d’agents infiltrés, ni de ces réseaux occultes responsables de manipulations et de complicités criminelles.

Les autorités maliennes doivent impérativement et urgemment nettoyer leur territoire de tout ce qui constitue un moyen d’infiltration de la DGSE dans l’espace AES. Le moment est venu de traquer tous ceux qui ont servi de relais à ces services impérialistes, de démanteler leurs réseaux et d’éradiquer les complicités qui alimentent directement le terrorisme.

La population de l’AES, surprise de découvrir que cette coopération persistait encore, félicite malgré tout la décision malienne et attend désormais des actes concrets. L’AES veut voir le Mali aller au bout du processus qui est de chasser la DGSE, couper les derniers fils de la manipulation française, et refermer pour toujours cette page sombre de soumission.

Dossier à suivre…

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