Burkina Faso : A qui profitent les agitations de Moussa Diallo au nom de la CGT-B?

Moussa Diallo

Bien que Moussa Diallo, au nom de la Confédération Générale du Travail du Burkina (CGT-B) exprime des préoccupations concernant les actions du gouvernement de transition MPSR, il est important de considérer également le contexte et les défis auxquels le Burkina Faso est confronté.

Il est indéniable que la situation sécuritaire au Burkina Faso est extrêmement complexe, avec la présence de groupes terroristes et des menaces constantes pour la stabilité du pays. Dans un tel contexte, le gouvernement de transition, sous la vision du capitaine Ibrahim Traoré, peut être amené à prendre des mesures fortes pour maintenir la sécurité et la stabilité du pays.

Il est important de noter que de telles mesures, telles que les fermetures d’organes de presse faisant l’apologie du terrorisme et autres, peuvent être considérées comme des réponses nécessaires pour faire face à des défis sécuritaires majeurs. Les autorités du MPSR sont confrontées à des menaces importantes et doivent prendre des mesures pour protéger la population Burkinabè.

Cependant, dans le contexte actuel, il est essentiel que les acteurs politiques et la société civile travaillent ensemble pour trouver des solutions aux défis complexes auxquels le pays est confronté, au lieu que Moussa Diallo, mobilise ses collègues pour ses intérêts grégaires.

Au lieu de condamner de manière inconditionnelle les actions du gouvernement, il serait préférable d’encourager un dialogue constructif entre les autorités et les organisations de la société civile, telles que la CGT-B, afin de trouver des solutions qui protègent à la fois la sécurité et les droits des citoyens Burkinabè. La stabilité du Burkina Faso est essentielle pour le bien-être de sa population, et il est important de rechercher des moyens de relever les défis actuels de manière responsable et équilibrée.

Mais malgré le contexte, Monsieur Moussa Diallo semble avoir des intentions voilées. Utilise-t-il l’organisation syndicale des travailleurs à des fins personnelles? Pourquoi ces sorties coïncident elles à l’embuscade qui a endeuillé le peuple Burkinabé? Pourquoi aussitôt après sa sortie, les médias français s’acharnent pour décrédibiliser le pouvoir du Capitaine Ibrahim Traoré et le MPSR ? Serait-il à la solde de ces médias paternalistes corrompus ? Ses collègues sont ils au courant de ses manouvres qui méritent des réflexions ?

Toutes ces questions sont légitimes et méritent des réponses approfondies.

Par ailleurs, le peuple Burkinabé doit rester vigilant et continuer de faire bloc derrière les autorités du MPSR et le Capitaine Ibrahim Traoré, qui selon plusieurs observateurs, sont sur le bon chemin pour la souveraineté du Burkina Faso.

Sam NDIAYE

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