Le peuple réclame le départ du Président Umaro Sissoco Embalo

La Guinée-Bissau est actuellement plongée dans une période de tension politique suite à une récente tentative de coup d’État. Les événements ont mis en lumière des divisions profondes au sein du pays, avec des opinions divergentes sur le leadership du Président Umaro Sissoco Embalo (un pion de la France). Certains considèrent le Président comme une marionnette d’Emmanuel Macron, accusant son gouvernement de faire souffrir le peuple africain pour servir les intérêts de puissances coloniales.

La vision du Président Embalo en tant que marionnette de la France est une perspective avérée. il est clair que que ses politiques répondent aux intérêts géopolitiques d’anciennes puissances coloniales, tandis que d’autres soutiennent la souveraineté du peuple Africain comme au Burkina Faso, au Mali et au Niger. Les divisions profondes ont atteint un point où des appels à une mobilisation populaire et à un renversement du gouvernement se font entendre.

Des voix s’élèvent, appelant le peuple de la Guinée-Bissau à se lever comme un seul homme en faveur d’un projet de coup d’État visant à destituer le Président Embalo. Ces appels soulignent un sentiment généralisé de mécontentement envers le gouvernement actuel et plaident en faveur d’un changement radical dans la direction du pays.

Certains observateurs soutiennent que l’heure est au réveil du peuple Africain, et plus spécifiquement, du peuple de la Guinée-Bissau. Ils plaident en faveur d’une prise de conscience collective face aux enjeux politiques, économiques et sociaux. Cependant, l’appel à un changement radical par le biais d’un coup d’État suscite des préoccupations nécessaires quant à la souveraineté du pays.

La Guinée-Bissau traverse une période délicate où les tensions politiques sont palpables. Alors que des appels à la mobilisation populaire et à des changements radicaux résonnent, il est impératif d’aller jusqu’au bout pour définitivement tourner la page à l’impérialisme pour préserver la stabilité du continent.

Juan CARLOS